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Meurtre de Maryline: William Palmer
William Palmer est un médecin et assassin né le 6 août 1824 à Rugeley, Staffordshire (Angleterre) et pendu le 14 juin 1856 à la prison de Stafford.
Il a été condamné à mort pour meurtre à l’issue d’un des plus retentissants procès du XIXe siècle au Royaume-Uni.
Avant les meurtres
William Palmer nait à Rugeley, dans le Staffordshire, en 1824, et mène une vie d’excentrique. Pendant ses études médicales, il est souvent accusé de voler et de courir les femmes. Lors d’un stage au dispensaire de Stafford, il est accusé d’avoir empoisonné un ami : les deux hommes avaient, apparemment, parié à qui boirait le plus. Bien que rien ne soit prouvé, l’administration hospitalière, à titre de précaution, renforce la surveillance du dispensaire. Gros joueur et amateur de chevaux, Palmer contracte de nombreuses dettes.
L’emballement meurtrier
Il retourne s’installer dans sa ville natale de Rugeley, et épouse Ann Brookes en 1847. Le mariage a lieu dans l’église St Nicolas à Abbots Bromley. C’est l’année suivante que naît leur premier enfant. Les quatre suivants moururent en bas âge.
Plusieurs personnes de l’entourage du Dr. Palmer moururent en sa présence, en particulier sa belle-mère et au moins deux autres personnes à qui il devait de l’argent. En 1854, Ann Palmer mourut (apparemment du choléra), après que William eût souscrit pour elle une assurance-vie de 13 000 livres. Le choléra, comme certains poisons, provoque des vomissements et diarrhées, il peut être difficile de les distinguer1. La bonne de Palmer accoucha de ses œuvres neuf mois plus tard, mais cet enfant illégitime mourut lui aussi au bout de quelques mois. Palmer assura aussi sur la vie son frère Walter. Mais quand celui-ci mourut quelques mois plus tard, la compagnie d’assurance refusa de verser les indemnités pour le décès. La justice ne put rien prouver contre lui2. Palmer était alors lourdement endetté et, de plus, une de ses anciennes maîtresses (la fille d’un policier du Staffordshire) lui extorquait des fonds en menaçant de le dénoncer.
Un jour, un de ses amis passionné lui aussi de courses de chevaux, John Parsons Cook, gagna une grosse somme d’argent aux courses de Shrewsbury. Il fêta copieusement l’événement avec Palmer avant de retourner à Rugeley, et Palmer l’invita en retour le lendemain. Après le repas, Cook tomba gravement malade et mourut deux jours plus tard. Les soupçons grandirent quand Palmer essaya de corrompre les personnes de l’entourage du coroner qui diligentait l’enquête. Mais lorsque l’on sut que Palmer avait acheté de la strychnine peu de temps avant la mort de Cook, ce fut la goutte qui fit déborder le vase.
Arrestation et procès
Palmer fut arrêté pour le meurtre de Cook. Les corps de Ann et Walter Palmer furent exhumés mais l’autopsie n’apporta pas de preuves formelles de la culpabilité de William Palmer. Comme il était difficile de réunir un jury impartial dans le Staffordshire, le Parlement émit une loi (le « Central Criminal Court Act » de 1856), qui permit de délocaliser le procès et de juger Palmer à la cour d’assises de Old Bailey à Londres.
Il n’y avait pas de preuve formelle des crimes, mais les symptômes qui avaient précédé la mort de Cook furent rapprochés de ceux dus à l’intoxication par la strychnine. Le jury s’en contenta et déclara Palmer coupable3. L’équipe d’avocats de la partie civile (Alexander Cockburn et John Walter Huddleston) avait de bonnes connaissances en médecine légale, et ils emportèrent l’adhésion du jury. Palmer, après la lecture du verdict, exprima son admiration pour la façon dont Cockburn avait conduit son contre-interrogatoire : en utilisant le langage de courses, il convint que « c’était quelqu’un qui savait tenir les rênes4 ».
Le 14 juin 1856, à la prison de Stafford, environ 30 000 personnes assistèrent à l’exécution publique de Palmer par pendaison. En montant sur l’échafaud, Palmer aurait regardé la trappe basculante et aurait demandé « Vous êtes sûr que c’est sans danger ? »5 (« Are you sure it’s safe? »6.
En fait, quelques juristes pensent que les preuves de la culpabilité de Palmer étaient insuffisantes et que les conclusions et le jugement du président du tribunal, John Campbell, premier baron Campbell, étaient sujettes à caution.
Le retentissement du procès fut tel que de nombreux notables locaux exprimèrent la crainte que Rugeley ne devienne « la ville de Palmer l’empoisonneur ». Selon une légende persistante, ils auraient fait circuler une pétition afin de demander au Premier ministre de l’époque, Henry John Temple, de bien vouloir changer le nom de leur ville. Il paraît que le Premier ministre donna son accord, à condition qu’on rebaptise Rugeley en… Palmerston. Cette histoire serait en fait une pure invention.
Source: Wikipédia
Meurtre de Geneviève : Esteban Carpio
James Lloyd Allen est né à Providence Rhode Island aux États-Unis le 29 août 1954. Il est marié à Marge et on 2 filles. James est policier et deviendra détective après quelques années.
Esteban Carpio né à Boston, Massachusetts le 30 juillet 1978. Il est élevé par sa mère, d’un père inconnu. Sa mère est professeur. Il travaillera comme barbier et à des problèmes avec les substances illicites. Vers l’année 2000 il commence une relation avec Simaine Finn avec qui il aura une fille. Mais vers 2004, Esteban commence à avoir des problèmes mentaux. Il dit qu’il commence à entendre des voix, crois qu’un ami il à donner une malédiction sur lui ou utilisé du voodoo. Pour ses problèmes sa blonde l’emmène dans un temple bouddhiste pour avoir de l’aide d’un moine pour le protégé. Mais sa n’a pas fonctionné. Wow choquer !!! Alors sa mère appellera pour une évaluation psychiatrique. Le médecin dira que tout est relié au stress et à sa consommation de drogues. L’année suivante, avec aucune amélioration de sa condition, sa mère Yvonne Carpio, l’apporte un autre fois à l’hôpital.
Ce printemps, son chemin croise avec Madeline Gada, 84 ans. Active, couturière dans ses temps libre elle était décoratrice intérieure. Elle avait 6 arrière-petits-enfants. Le 16 avril 2005, Détective James fini son shift de travail et va au restaurant. Pendant ce temps, Esteban qui conduisait dans le même coin voit Madeline. Elle voyant comme une proie facile, il sort de sa voiture avec un couteau. Il essai de lui voler son sac à main mais dans le brouhaha il la blesse avec le couteau. Ses cris on alarter les alentours et un voisin à eu le temps de prendre le numéro de plaque d’Esteban. Madeline est apportée à l’hôpital ou elle raconte son histoire. Vers 19h00 le téléphone du détective James de maison sonne et il répond. C’était bien sûr sur l’attaque de Madeline et comme quoi qu’il savait qui était le suspect. Le lendemain, les policiers avec James aussi iront arrêter Esteban chez lui. Selon les déclarations de la famille d’Esteban, ils avertissent que Esteban avait des troubles mentaux graves. Il ne dormait plus et n’avait plus toute sa tête. Peu de temps après il est apporter au poste de police de Providence pour un interrogatoire. Un fois arrivé, ils le mettront dans une salle d’interrogation au 3ième étage et n’était sous arrestation alors il n’avait pas de menottes. Détective James et un autre détective commence l’interview. James est armé comme on stipule dans les règlements policiers. Esteban donne un mauvais nom et omet de dire qu’il a déjà été arrêter et clame son innocence. Quand James l’averti qu’il connait sa vraie identité et ses antécédents criminels, Esteban devient agité et demande à l’autre détective pour de l’eau. Après que ce détective quitte la pièce, Esteban réussi à enlever le fusil à James. On ne sait toujours pas comment…. Et barre la porte de l’intérieur. Timothee, l’autre détective dira avoir entendu James crier pour de l’aide et disant qu’Esteban va le tuer. Il entendra les tires et quand ils réussiront à ouvrir la porte, ils trouveront James entrain de mourir de 2 balles tirées, un dans la poitrine et l’autre à la tête. Esteban tira une balle dans la fenêtre pour pouvoir s’échapper tombant sur le gazon. Une scène chaotique suivra dehors alors que les policiers locaux, États et fédéral lanceront une recherche pour Esteban. James fut apporté d’urgence à l’hôpital mais malgré tous les efforts James décède ra de ses blessures. Esteban fut arrêté seulement 1 heures après son escapade qui finira en confrontation violente avec un chauffeur de taxi. Sa capture fut difficile. Il était très combattif et aggressif. Les policiers le frapperont au visage 3 fois. Ils apporteront Esteban à l’hôpital ou on lui administrera un sédatif. Il sera interrogé à l’hôpital et ceci fut enregistré (non je n’ai pas vue l’enregistrement). Sur l’enregistrement on voit clairement Esteban en détresse. Pendant ce temps des policiers iront à la maison de James annoncé la mauvaise nouvelle à sa femme. Qu’elle ne fut pas sa surprise de savoir ou il était mort…. Elle pensait que le poste de police était l’endroit le plus sécuritaire pour eux…. Le lundi 18 avril 2005 à 10 am une autre interrogation à lieu au poste. Esteban était hystérique et insistait qu’il était fou et pas aimé. Ceci fut aussi enregistré.
Lors de son procès Esteban arrive menottes aux pieds et aux mains mais aussi avec une protection au visage pour qu’il ne crache pas…. On voit qu’il à été battu car on voit très bien ses yeux gonflés et noirs. Sa mère et sa copine se mis à crier et pleuré. Sa mère accusera immédiatement la police de battre son fils. Les autorités auront de la difficulté a retiré les 2 femmes de la cour. Quand il sera accusé de meurtre il répondra en hochant la tête et ne déni pas son acte. Il ne parle qu’a sa mère pour lui dire qu’il l’aime. Esteban resta en prison sans possibilité de liberté. Comme il a tué un officier au travail la sentence maximum est emprisonnement à vie sans possibilité de parole.
Même quand cour la stratégie de la défense était sur sa santé mentale. Esteban à même été évaluer par plusieurs experts de santé mentales. Il a aussi vue un psychiatre et et un neuropsychologiste. Après les révisions médicales des hôpitaux et de ses visites avant le drame et les enregistrements de ses interrogations, les spécialistes ont concluent d’Esteban souffrait de psychose schizophrénique et de psychose paranoïaque aigue. La défense contre la folie est rarement utilisée aux États-Unis et sont rarement gagnante. Selon les experts en psychiatries et en droits, les juges sont septiques que les maladies mentales absoudre quelqu’un d’un crime ou craignent qu’un verdict de non-culpabilité fait en sort que l’on sort de prison un individu dangereux.
Dans les journaux et l’internet, on parle de plus en plus de la force utilisée par les policiers sur le cas d’Esteban. Il y aura une investigation fédérale par le FBI qui ont conclu qu’il n’y avait pas eu de force excessive des policiers de Providence, car il devait le faire à cause du côté violent du suspect.
Ce cas emmènera des questions sur la sécurité dans les édifices gouvernementaux. Parce que ce n’est pas la première fois que ceci arrive. Pour un temps les emplois des bureaux devaient passer aux détecteurs de métal. Mais personne n’avait anticipé qu’un individu pourrait enlever une arme à un officier.
Malgré ce rapport, la famille d’Esteban continue d’accusé les policiers de force excessive du au problèmes mentaux de celui-ci.
Esteban a été chargé d’assaut sur Madeline avec un couteau en plus du meurtre de James. Le procès commença le 2 juin 2006. D’après 2 docteurs en cours ils jugent qu’Esteban ne devrait pas être retenu responsable de ses actions. Tandis qu’un autre médecin dira en cours (en résumé) qu’Esteban faisait semblant de souffrir de maladie mentale surtout durant le meurtre. Il le considère manipulateur et anti-social. Après 9 heures de délibération le jury revient avec le verdict. Coupable de meurtre au premier degré, d’avoir utilisé une arme pour un acte violent qui c’est fini par la mort et assaut sur Madeline avec une arme dangereuse. Il recevra une sentence de perpétuité sans libération conditionnelle plus 20 ans pour assaut aggravé.
Source : texte Genny