Crochet:
Maryline : Wild Oleander hooded scarf (aff) : https://tidd.ly/3rZqTv2
Laine: Red Heart Ombré (aff): https://www.lovecrafts.com/en-us/p/red-heart-super-saver-ombre?utm_medium=affiliate&a_aid=dcfe6b8b
Geneviève : Châle squellette : http://kungenomajkis.blogspot.se/2013/04/virkad-doskallesjal-med-monster.html
Laine : impeccable de Loops & Threads
Book club: Un tueur si proche ou Stanger beside me de Ann Rule
News menedez https://people.com/crime/former-menudo-boy-band-member-claims-drugged-raped-father-menendez-brothers/
Elodie Fil du Bon’R at 53mins https://youtu.be/IBGF0KXGE_A?t=3204
Disney + : Pretty baby
Nos 2 meurtres :
Geneviève : Mélanie Alix
Peu de chose est trouvable sur Mélanie Alix. Elle étudie 4 ans à l’ Université de Montréal en psychologie. D’ après son témoignage elle aurait été abusée sexuellement par son grand-père enfant et à l’adolescence par son frère. Violé et abusé par son ex et vivra de la torture aux mains de policiers.
31 janvier 2001 Francine Lévesque 52 ans, qui est en chaise roulante, périra dans l’incendie de sa demeure à l’ Acadie. Sa petite-fille échappe à la mort lorsque Mélanie (sa mère) la jette par la fenêtre du 2ième étage. En premier le coroner dira que cette incendie est dû à la cigarette. Le 31 janvier 2001, vers 22h50, soit plus de six heures après le décès tragique de sa mère, Mélanie Alix appelle au poste de police pour s’infomer de l’état de santé de sa mère. Rapidement, le sergent Serge Geoffrion explique à Mélanie Alix que la résidence de sa mère, à L’Acadie, a été ravagée par les flammes.
Puis, confronté à une situation à laquelle il ne s’attendait pas, le sergent Geoffrion annonce à Mélanie Alix, de façon plutôt maladroite, que sa mère est décédée. La femme de 31 ans se met à crier et pleurer.
12 mai 2003 le fils de Mélanie, Matisse Alix-Leblanc, 1 an, périt dans l’ incendie de la maison familiale à St-Blaise-sur-Richelieu, Sa fille de 2 ans survivra.
Il y aura autopsie du corps du petit Matisse et on retrouve des traces de sédatifs (Sérax et Rivotril) prescrit à la mère. Certaines informations disent que c’ est du Oxazepram qui aurait été administré à sa mère et son fils avant les incendies. L’enfant était vivant au début de l’incendie, note le rapport du coroner. Il a respiré de la fumée et des gaz toxiques.
Les investigateurs détermine que les feux sont délibérés. Il y aurait eu plusieurs points d’ origines à plusieurs sites différent. Dans l’ incendie de 2003, 2 chaises fut découverte comme un point d’ origine mais le principale fut de l’ huile mis sur le dessus du poêle. La mère dira qu’ elle aurait essayé de sauvé son fils mais que la fumée était tellement dense qu’ elle ne pourra se rendre à lui et que d’ après elle il était déjà mort. En 2003, elle avouera avoir drogué ses enfants avant l’ incendie. Mais en cours elle dira que les détectives on mis les mots dans sa bouche et qu’ elle aurait drogué ses enfants pour les calmer car le père avait menacer de mort Mélanie.
Le procès aura lieu à Longueuil et dura 2 mois.
La jeune mère de famille a été condamnée à perpétuité sans possibilité de libération avant 25 ans en avril 2005 à l’âge de 31 ans pour ses 2 meurtres, de tentative de meurtre sur sa fillette et deux d’incendie criminel.
Elle en contestera l’admissibilité sous plusieurs aspects, dont une violation de son droit constitutionnel à un avocat à la suite du refus du policier de permettre que son avocat assiste à l’interrogatoire et de la violation à son droit de faire suspendre l’interrogatoire si elle demande à communiquer à nouveau avec un avocat.
L’enquête est réouverte sur la mort de sa mère et l’on découvre que cette dernière avait aussi ingéré du Sérax.
Mélanie Alix aurait touché une prime d’assurances de près de 200 000 dollars. Elle dira que sa mère est morte dans un accident fatale et que c’ est la faute à son frère François Alix. Elle accusera aussi son ex copain Stéphane Leblanc pour la mort de son fils.
En rendant sa sentence, la juge a souligné la méchanceté de l’accusée et le fait qu’elle n’avait pas de remords. Le jury ne saura pas que Mélanie à tenter à sa vie à la prison de Tanguay en s’ immolant et qu’ elle est suspecté d’ avoir mis le feu à la Jeep de M. Leblanc.
Le 11 janvier 2006, Mélanie Alix demande à la Cour d’appel du Québec la permission de contester le verdict et la sentence du 22 décembre 2005.
À l’instar de la Cour supérieure du Québec et de la Cour d’appel, le plus haut tribunal du pays a, à son tour, rejeté la demande d’appel de Mélanie Alix.
Saison 4 episode 9 un tueur si proche.
Source: texte de Geneviève
Maryline : Nicola Edgington
Nicola Edgington (née le 9 septembre 1980) est une double tueuse britannique qui a également tenté d’assassiner une troisième personne. Après avoir tué sa propre mère en 2005, elle a attaqué deux inconnus dans la rue à Bexleyheath en 2011, en tuant un. Elle a été reconnue coupable d’homicide involontaire pour cause de responsabilité atténuée, de tentative de meurtre et de meurtre.
Si la victime survivante de ses attaques avait été tuée, Edgington serait classée comme un tueur en série
Edgington a un frère cadet et une sœur cadette et a fréquenté l’école de Sackville. Edgington a déclaré à la police qu’elle avait été maltraitée par son père lorsqu’elle était plus jeune. Elle a parfois séjourné dans des pensionnats . Elle a travaillé comme coiffeuse, vendeuse et . À 17 ans, elle a fait une fausse couche de jumeaux après avoir reçu un coup de poing dans le ventre par son chum violent et à 19 ans, elle était de nouveau enceinte, d’un trafiquant de drogue, et a donné naissance à un fils trois mois avant terme. La mère d’Edgington, Marion, l’a aidée à s’occuper du bébé, jusqu’à ce qu’elle confie le garçon à une famille d’accueil. Edgington a épousé un homme jamaïcain qui est le père de son fils cadet. Les fils ont été pris en charge par l’état et finalement envoyé en Jamaïque par son ex-mari.
Meurtre de sa mère
Le 4 novembre 2005, Edgington a poignardé sa mère de 60 ans, Marion, neuf fois. Le 23 octobre 2006 elle a été reconnue coupable d’homicide involontaire. Le involontaire cest en raison d’une responsabilité réduite (sur la base de diagnostics de schizophrénie et de traits de personnalité émotionnellement instables). Elle a été détenue indéfiniment en vertu de la loi de 1983 sur la santé mentale et, après un traitement et une évaluation psychiatrique, a été libérée sous condition en septembre 2009, emménageant dans un appartement de Greenwich. Bravo.
En septembre 2011, Edgington a envoyé un message via Facebook à son frère disant qu’elle ne recevait pas l’aide dont elle avait besoin, que sa mère lui manquait et qu’elle avait fait une fausse couche. Elle a laissé son numéro de téléphone et lui a demandé de ne pas dire à leur père, Harry, qu’elle avait pris contact. Son frère a répondu qu’elle avait tué leur mère et qu’il avait trouvé le corps, que la fausse couche était une bonne nouvelle et qu’elle devrait se suicider en se coupant les poignets.
Edgington a demandé l’aide de Universal Church of the Kingdom of God avant les attaques, comme elle l’avait fait avant le meurtre de sa mère, ce qui l’a peut-être encore plus perturbée.
Les 6, 7 et 9 octobre, Edgington a contacté la police à plusieurs reprises par téléphone et une fois en personne, signalant que des individus la menaçaient de mort (nommant une personne), et plus tard que deux consommateurs de cocaïne refusaient de quitter son appartement et avaient peut-être volé de ses trucs. Bien qu’initialement classé comme grave et nécessitant la présence de la police, aucun policier n’a été envoyé pour enquêter.
Le matin du 10 octobre 2011, Edgington a plaidé à plusieurs reprises auprès de la police et des services de santé mentale locaux pour la détenir physiquement selon leurs pouvoir légaux car elle sentait qu’elle avait une autre dépression psychotique, affirmant qu’elle avait déjà tué quelqu’un et que plus elle avait peur. plus elle pourrait être dangereuse. Bien qu’elle ait été emmenée à l’hôpital Queen Elizabeth, elle y a été laissée par la police avant d’être admise en toute sécurité, et le personnel psychiatrique a décidé qu’il ne l’admettrait que sur une base volontaire malgré son profil de risque et son plan de soins figurant dans son dossier psychiatrique.
Attaques
Plus tard dans la matinée du 10 octobre 2011, en attendant que le personnel change de quart et l’admette, Edgington a quitté l’hôpital par une porte qui aurait dû être verrouillée, a pris deux bus et a poignardé deux inconnus dans la rue en deux attaques séparées à Bexleyheath. Elle a acheté un couteau à Asda un magasin localavec lequel elle a tenté de tuer Kerry Clark, 22 ans, qui a survécu et cest un membre du public lui a enlevé le couteau. Edgington a ensuite volé un couteau dans une boucherie et a poignardé et pratiquement décapité. Sally Hodkin, 58 ans, qui est décédée des suites de ses blessures en quelques minutes. Edgington a été arrêté plus tard le même matin.
Jugement
Selon les psychiatres, Edgington avait des délires paranoïaques et des hallucinations, avec un sous-texte religieux. Elle croyait qu’un monstre à 100 yeux gardait le trône de Dieu contre les ennemis et a vu des magasins rqui avait l’air detres passer à travers un holocauste nucléaire. ; elle croyait que Jésus était revenu pour sauver les âmes de tout le monde sauf la sienne, ce qu’elle ne pouvait pas comprendre car elle aimait Dieu. Elle avait également l’impression d’être dans une simulation informatique et avait diverses croyances bizarres concernant des personnages et des films célèbres.
Le 7 février 2013 à Old Bailey, Edgington a été reconnu coupable par un jury de la tentative de meurtre de Clark et du meurtre de Hodkin. Le juge Brian Barker l’a emprisonnée à vie le 4 mars 2013, avec une sentence minimum de 37 ans. Barker a écrit que malgré le diagnostic ferme de longue date d’Edgington de schizophrénie et de psychose probable au moment des attaques, il pensait que le facteur primordial était le trouble de la personnalité limite (au Royaume-Uni, généralement mentionné dans I
Les Termes du CD comme Trouble de la personnalité émotionnellement instable, type borderline) avec capacité rationnelle. Il a fait référence à un rapport médical récent indiquant qu’Edgington n’avait pas besoin de traitement hospitalier. Bien qu’Edgington ait cherché à plusieurs reprises à se faire arrêter par la police ou les services médicaux avant ses actions, Barker a déclaré que le meurtre avait été prémédité d’une manière qui montrait un « cours cohérent et calculé de conduite criminelle ». Barker a inclus la nature aléatoire et non provoquée des attaques comme des facteurs aggravants indiquant plus de culpabilité, tout en ignorant le facteur atténuant de l’incapacité mentale puisque les autorités psychiatriques n’étaient pas d’accord à ce sujet.
Source: texte de Maryline
